L’idée maîtresse est de permettre à des jeunes français et béninois de pouvoir se rencontrer, ici et là-bas, pour échanger et par là-même apprendre à se connaitre. Il s’agit donc de permettre à un ou une jeune béninois(e) d’évoluer au sein d’une culture différente, et de pouvoir témoigner de sa propre culture. L’accueil de ce service
civique sera d’autant plus facilité au sein de notre établissement, par nos jeunes étudiant(e)s venant de ce même pays. Des regards croisés seront posés et doivent permettre de faire évoluer les représentations que l’on a les uns des autres. Les jeunes des deux pays, au travers du voyage ou de l’accueil, doivent devenir des « ponts culturels » auprès de leurs compatriotes, afin de les sensibiliser, les conseiller et les guider.
L’idée secondaire est également de permettre à un jeune béninois de découvrir l’aquaculture d’étang (infrastructure, méthodes d’élevage et de pêche, espèces produites), les manifestations qui y sont associées (TP pêche d’étang, tri du poisson, vente à la chaussée,…) ainsi que l’aquarioculture (élevage de poissons d’aquarium tropicaux) et les processus de maintien des différentes espèces présentes au lycée.

Rencontre de Brive : rassemblement de renforcement de capacités pour tous les volontaires service civique d'Afrique Subsaharienne. Notre service civique béninois Isaac AYENA y a participé.

Tous les volontaires ont présenté leur projet de volontariat, ateliers de travail et d'animation, séminaire de recherche de financement de projet, mise en relation et convivialité au RDV.

De retour dans leur pays, le jeune service civique béninois doit devenir un ambassadeur de ce qu’il aura vécu, par son expérience personnelle et professionnelle, qu’il pourra faire valoir dans sa recherche d’un métier.
Le but est de faire découvrir deux secteurs de l’aquaculture, afin éventuellement de pouvoir développer l’attrait vers ce domaine professionnel et permettre une future embauche dans ce milieu.
Dans un contexte mondial de plus en plus multiculturel, les jeunes français et béninois concernés prendront part conjointement et concrètement à cette évolution. Cela doit participer d’une meilleure compréhension du monde tel qu’il existe, et doit leur permettre d’acquérir une plus grande intelligence citoyenne.
Ces échanges marqueront une nouvelle étape dans les relations entre les deux entités déjà partenaires, et devrait permettre d’engager d’autres acteurs territoriaux.